« Quidquid fit, necessario fit »
Schopenhauer
Biographie
Boris Guzinski
La rédaction de ce récit provient d’un besoin, d’une obligation, d’une impossibilité : celle de contempler l’inutilité d’une vie s’évanouir sans que celle-ci ne soit mise à contribution à autre chose, que son passage.
Ce livre est un constat, un témoignage, un cri; celui d’un homme qui avait besoin de partager sa vision du monde, de ses peurs quant à son évolution et à ses inégalités grandissantes, autant que de ses faiblesses et de ses vœux, afin de ne pas mourir sans avoir tenté d’apporter quelque chose, aussi minime et indéfinissable soit-il.
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Écorché vif en quête de survie: Passionné de musique, de philosophie, de littérature... et de tant d'autres choses.
Mes Livres
Les morts qui ne pouvaient s'empêcher de respirer
Genre :Littérature
Sortie: 01/08/2018
Il se trouvait dans la cour d’un immeuble parisien, le dos collé au mur, avec la lame d’une ombre posée sur sa gorge sanguinolente. La silhouette susurra une question à son oreille. Il comprit que sa survie dépendrait de sa réponse. Vinrent à lui les souvenirs épars d’une vie qu’il n’avait jamais agrippée : ce café dans lequel il noyait sa détresse face à une société au libéralisme exaspéré ; cette vieille dame emmurée dans un silence immuable ; ces deux petites, forcées dans un destin...
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